Au fil des générations, la Caisse d’Epargne s’est inscrite dans le quotidien et dans les mémoires familiales. Ce n’est donc pas un hasard si elle joue un rôle dans de nombreux films. Une incursion, souvent passée inaperçue. Michel Audiard dans Elle court plus … elle flingue fait dire à Bernard Blier, en réponse à une volcanique Annie Girardot : « Je gagne quatre mille francs par mois… J’ai un livret d’Caisse d’Épargne, une carte bleue, cinquante pour cent d’réduction sur les Chemins d’Fer, bref… C’qu’on appelle un parti…». Dans la Soupe aux choux, Louis de Funès, conseille à Francine de mettre l’argent qu’il lui lègue à la Caisse d’Epargne « où qu’ils feront des petits ». Dans La vie est un long fleuve tranquille d’Etienne Chatilliez, la mère de la famille Le Quesnoy déclare : « tous tes frères et sœurs ont un livret de Caisse d’Epargne, c’est très pratique tu sais. »